Il n’y a pas que les coronavirus dans la vie, par Robert Boulant

Pendant la pandémie et malgré la paralysie de l’économie mondiale, n’oublions pas que le réchauffement climatique se poursuit. Et l’inertie du système atmosphérique est telle, que même si les 7,7 milliards d’homo-sapiens disparaissaient subitement, les températures continueraient à croitre durant les deux prochains siècles. Pour information, ce mois de mars 2020 se classe à la quatrième place des mois de mars les plus chauds depuis que les relevés météos existent.

Si on aidait les masques à tomber

Dans l’improvisation, les plans se succèdent et s’additionnent, et ce n’est pas fini ! Les banques centrales et les gouvernements tentent de faire face à ce qui est désormais comparé à la Grande dépression, devant même la surpasser. Les suicides des financiers en moins, les morts du coronavirus et tout ce qui s’en suit en plus. L’économie plonge et des craquements se sont entendre dans le système financier, dont on découvre qu’ils sont tous deux systémiques. La pire des propriétés, celle devant laquelle ils sont désarmés.